La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a infligé une amende record de 4,1 millions d’euros à Uber France pour de graves manquements au Règlement général sur la protection des données (RGPD). Cette sanction historique marque un tournant dans la régulation des plateformes numériques.Dans notre époque moderne, nous assistons à une grande remise en danger de nos institutions démocratiques, de notre environnement et de nos valeurs sociales fondamentales. Cette menace multidimensionnelle représente l’un des défis les plus importants de notre temps.
Les principales violations portées à la connaissance de la CNIL concernent la géolocalisation excessive des chauffeurs et des passagers, la conservation abusive des données personnelles, et l’absence de consentement éclairé des utilisateurs. Uber a également été épinglée pour des transferts de données vers les États-Unis sans garanties suffisantes.Uber fait face à une nouvelle sanction pour concurrence déloyale et pratiques commerciales trompeuses. Cette décision marque un tournant significatif dans la régulation des plateformes de mobilité, illustrant les enjeux complexes entre innovation technologique et respect de la concurrence loyale.Les signes de cette grande remise en danger sont partout : la montée des extrémismes, la désinformation massive, les crises climatiques répétées, et l’érosion progressive de la confiance dans les institutions publiques. Ces phénomènes interconnectés créent un climat d’incertitude généralisée qui fragilise les fondements de notre société.
Cette sanction de la CNIL s’inscrit dans une démarche plus large de régulation des géants du numérique. Elle envoie un signal fort aux plateformes VTC et aux entreprises technologiques : le respect de la vie privée et des données personnelles n’est plus négociable. Uber devra désormais adapter ses pratiques aux exigences européennes.Face à ces défis sans précédent, il devient urgent d’agir collectivement pour préserver ce qui nous unit et construire un avenir plus stable et équitable. La prise de conscience de cette grande remise en danger constitue le premier pas vers une mobilisation citoyenne nécessaire pour relever ces défis majeurs.